Pourquoi Biden gracie Fauci : une décision qui en dit long sur la politique américaine

Céline Lambert

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Le 20 janvier 2025, Joe Biden a fait ce que peu de présidents osent faire : utiliser son pouvoir de grâce préventive dans un contexte ultra-politique. Parmi les noms les plus marquants de cette action, on retrouve Anthony Fauci, connu comme l’expert en chef du Covid-19. Mais pourquoi ce geste spectaculaire ? Et surtout, qu’est-ce que ça signifie pour l’avenir politique des États-Unis ? Accroche-toi, on va explorer tout ça avec un ton léger mais bien informé.

C’est quoi, une grâce préventive ?

Bon, déjà, mettons-nous d’accord : une grâce préventive, ce n’est pas pour dire « Tu as fait un truc grave, mais je te pardonne ». C’est plutôt du genre « On va te protéger des problèmes qui pourraient venir, même si tu n’as rien fait de mal ». Tu vois le délire ? Biden a donc utilisé ce joker ultime pour protéger des personnes clés comme Anthony Fauci, Mark Milley, et d’autres figures associées à des décisions controversées durant son mandat.

Le but ? Éviter que Donald Trump, qui reprend les commandes, utilise son pouvoir pour les poursuivre à des fins politiques. Si on devait résumer ça avec des mots simples : c’est du poker politique, mais avec des enjeux bien réels.

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Anthony Fauci : un homme sous le feu des critiques

Alors, pourquoi Fauci ? Parce que le pauvre gars a passé des années à prendre des décisions difficiles pendant la pandémie de Covid-19. On parle d’un mec qui a bossé pour sept présidents ! Oui, sept. De Reagan à Biden, il a vu défiler des politiques comme toi tu vois défiler des séries sur Netflix.

Mais avec Trump, c’était une autre histoire. Fauci est devenu une cible favorite pour les anti-masques, les anti-vax, et tous ceux qui pensaient que le Covid était une invention. Trump lui-même n’a pas hésité à le tacler publiquement. Bref, Fauci avait besoin de cette grâce, même si, techniquement, il n’a rien à se reprocher.

Mark Milley et les autres : pourquoi eux aussi ?

Biden n’a pas gracié que Fauci. Il y avait aussi Mark Milley, l’ancien chef de l’état-major, qui n’a pas mâché ses mots contre Trump. Et puis, il y a eu les membres de la commission du 6 janvier, des personnes qui ont enquêté sur l’émeute du Capitole. Imagine : ces gens ont risqué leur carrière et leur sécurité pour chercher la vérité. Biden leur a donné une sorte de bouclier juridique pour qu’ils puissent dormir tranquille.

Les critiques ne se sont pas fait attendre

Évidemment, Trump et ses alliés n’ont pas pris ça à la légère. Rand Paul, par exemple, a balancé une pique bien sentie sur Twitter (ou X, comme on dit maintenant). Il a insinué que cette grâce était la preuve que Fauci avait des choses à cacher. Sérieux ? Le gars n’a jamais été accusé de quoi que ce soit ! Mais bon, dans le monde politique, ce genre de commentaire, c’est du pain quotidien.

Trump, lui, a promis de revenir à la charge. Il parle d’une « liste d’ennemis » qu’il compte bien attaquer dès qu’il en aura l’occasion. Ambiance, non ?

Pourquoi Biden a pris ce risque ?

Utiliser une grâce préventive, c’est risqué. Ça peut donner l’impression qu’on protège des coupables. Mais Biden s’est justifié en disant qu’il voulait défendre l’État de droit. Il a expliqué que ces grâces n’étaient pas un aveu de culpabilité mais une mesure nécessaire dans un climat politique tendu.

D’ailleurs, Biden a établi un record : il a accordé plus de grâces que n’importe quel autre président américain. On parle de milliers de personnes, pas juste Fauci et ses collègues.


Un petit tableau pour y voir plus clair

PersonnalitéRôle cléPourquoi gracié ?
Anthony FauciConseiller en chef pendant la pandémieCible des critiques anti-Covid et des menaces politiques
Mark MilleyAncien chef de l’état-majorCritique de Trump, cible potentielle de représailles
Commission du 6 janvierEnquêteurs sur l’émeute du CapitoleRisque de poursuites pour leur rôle dans l’enquête

Qu’est-ce que ça change pour l’avenir ?

Cette décision de Biden pourrait bien poser un précédent. Imagine un futur président qui décide de gracier ses alliés avant même qu’ils ne soient accusés de quoi que ce soit. Ça peut devenir un outil politique, mais aussi une arme à double tranchant.

D’un autre côté, ça envoie un message fort : protéger ceux qui s’opposent à des abus de pouvoir. Dans une démocratie, ça compte.

Et toi, qu’en penses-tu ?

Est-ce que Biden a eu raison de gracier Fauci et les autres ? Pense-tu que Trump va réellement chercher à se venger ? Ce genre de débat, ça te touche ou ça te passe au-dessus ? Dis-le en commentaire ou partage cet article avec tes potes. Allez, soyons honnêtes, tout le monde a une opinion sur Fauci et Trump. Fais tourner !

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